
Pourtant, pendant plus de 20 ans, plus aucun pilote de l'écurie italienne n'allait réussir à décrocher la couronne suprême. Les années 80 ont fait illusions grâce à l'apparition des moteurs turbos. Une technologie qui permettra aux Rouges de remporter leur dernier titre de champion des constructeurs avant des lustres. Les années 90 ont été celles des " vaches maigres " malgré le recrutement des meilleurs pilotes du moment - Nigel Mansell, Alain Prost puis le duo Alesi-Berger - rien n'y fit !
Il faudra tout le poids de Fiat, appuyé par Marlboro, afin de recruter Jean Todt, Michael Schumacher et ses ingénieurs pour redorer le blason des rouges. D'emblée, l'Allemand a remis la Scuderia au centre des débats, mais sans pour autant avoir atteint la terre promise. En 1999, le redressement du cheval cabré s'est poursuivi avec le succès final des voitures rouges dans le championnat du monde des constructeurs, 16 ans après le sacre de la 126-C3 aux mains de Patrick Tambay et René Arnoux.
L'an 2000 a été l'aboutissement d'un rêve, de Jean Todt, de Michael Schumacher, mais surtout celui de tous les tifosi. Une nouvelle ère s'est ainsi ouverte, et l'équipe italienne a de la sorte confirmé les titres de champion du monde des pilotes pour une deuxième année consécutive, et celui des constructeurs pour la troisième. Porté par la vague, 2002 n'a pas vu l'élan victorieux se briser. Pire : l'aisance et la domination affichées par les voitures rouges de Michael Schumacher et Rubens Barrichello, ont été outrancières, obligeant les hautes instances régissant le summum du sport automobile mondial à prendre des mesures drastiques.
En 2003, le challenge s'est avéré encore plus difficile à relever, compte tenu du niveau toujours plus élevé de l'adversité. Mais personne n'a réussi à briser l'unité qui pousse la Scuderia toujours plus loin. Qu'on se le dise, en 2004, la concurrence promet d'être acharnée... un nouveau couronnement n'en serait que plus beau.
Ainsi on pensait la Scuderia être la cible d'attaques venues tous azimuts en 2004 - il n'en sera rien du tout. C'est au contraire Ferrari qui allait écraser un peu plus la concurrence avec 15 victoires sur 18 possibles et un sixième titre des constructeurs consécutifs à la clé. Difficile de faire mieux après... mais on l'a déjà si souvent répété !
Couronnée six fois de suite après 15 saisons sans le moindre sacre, l'équipe Ferrari savait que la spirale du succès s'arrêterait un jour. Le coup d'arrêt a été net et brutal en 2005 où la Scuderia n'a dû son salut qu'à une victoire tronquée à Indianapolis. Retombée au troisième rang, l'écurie italienne et son leader allemand seront vraisemblablement de retour sur le devant de la scène pour un baroud d'honneur avant une retraire bien méritée.
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Mon mot: Ferrai va faire mieux quand 2005 sa c est et j espére quel arrivera a gagné bcp de course cette saison !
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5.Michael Schumacher
Déjà dans sa jeune carrière d'apprenti pilote, le surdoué qu'est Michael Schumacher s'est rapidement illustré en karting, en F3 et même en endurance, à bord des prototypes Mercedes construits par Peter Sauber. Il n'a disputé qu'une course de F3000, au Japon... une épreuve qu'il a terminée au 2ème rang.
L'arrivée de Michael Schumacher dans le grand bain de la F1, au début des années 90, dans le baquet d'une Jordan, au milieu de la verdure belge de Spa Francorchamps, n'est pas passée inaperçue. Il ne tardera pas à faire parler la poudre et se posera en grand rival d'un Ayrton Senna trop vite disparu en 94. Sacré sans tarder deux fois champion du monde avec une Benetton, d'abord propulsée par un moteur Ford puis un Renault, le parcours de cet impétueux allemand avait été jalonné de quelques 'clashes' tant avec ses adversaires directs (Damon Hill et Jacques Villeneuve) qu'avec l'autorité - la FIA - avait qui l'Allemand eu mailles à partir au début de son parcours dans le Formula One Circus.
Parti du bercail tenu par Flavio Briatore pour rejoindre l'Italie et la glorieuse écurie Ferrari, Michael Schumacher était certain d'y trouver le succès.
Après quelques tentatives, il restait insatisfait de ne pas avoir été sacré avec la Scuderia, un écueil sur lequel bon nombre de pilotes, et non des moindres, ont échoué. Il faillit même y laisser ses jambes un jour de Juillet 1999 à Silverstone, mais il reviendra encore plus fort. Depuis lors, il semble avoir atteint son rythme de croisière... et quel rythme : cinq couronnes consécutives. Il va sans dire que ses sept titres mondiaux font de lui un individu 'à part' dans l'histoire de la F1. Après lui, plus rien ne sera pareil.
En 2005, de nouvelles règles sont venir pimenter l'affaire. Michael a vécu une saison en enfer et sauvé ce qui pouvait l'être en terminant à la troisième place du classement mondial - grâce à une victoire à Indianapolis acquise dans des conditions singulières et le forfait de tous les concurrents Michelin. Convaincu d'avoir encore les capacités pour récupérer la couronne en 2006, Schumacher entame sa 15ème saison dans la catégorie reine.
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Mon mot: Schumi a été l anné derniére sa pire saison mais cette anné il va se resésir c est sur !
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6.Felipe Massa
Jeune brésilien prometteur, Felipe Massa a été engagé dans les séries italiennes de Formule 3000 (alias Euro 3000) par l'équipe Draco et fera donc ses débuts en F1 au sein de l'écurie Sauber Petronas en 2002. Originaire de Sao Paulo, où il a vu le jour le 25 avril 1981, Felipe a été sacré champion du Brésil de Formule Chevrolet en 1999. Il partait ensuite en Europe pour y disputer les championnats d'Italie et d'Europe de Formule Renault dans lesquels il s'est imposé.
En 2001, il a décroché le titre grâce à ses quatre victoires en six courses. Progression fulgurante qui lui ouvrira les portes de la catégorie reine après un essai réussi à bord d'une C20 de Peter Sauber. Trop vite lancé dans le bain, il ne réussira pas à conserver sa place de titulaire en 2003, année qu'il ira passer en Italie, en tant que 'second' pilote d'essais de la Scuderia Ferrari. Il s'y forgera une expérience technique qu'il compte bien mettre à profit pour ne pas manquer sa deuxième chance avec l'écurie suisse.
4ème à Spa Francorchamps, éphémère leader du GP du Brésil fin 2004 pour la première fois de sa carrière, Felipe Massa n'a pas eu à rougir de la comparaison avec l'ancien champion du monde canadien Jacques Villeneuve qui lui était associé en 2005 chez Sauber. Après quatre saisons dans la catégorie reine, le voilà appelé à succéder à son compatriote Rubens Barrichello dans le cockpit de la deuxième Ferrari. Pour le pire et peut-être le meilleur !
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Mon mot: Jeune pilote mais trés bon je suis sur qu il faudra conté avec lui cette saison !
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alex62f1, Posté le lundi 13 mars 2006 13:14
ke pourra fer massa avec une bonne voiture???